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Cet article retrace l'histoire des États Confédérés d'Amérique (CSA) depuis l'intervention de la France lors de la guerre de Sécession.

La Guerre de Sécession (1861-1865)[]

Carte-des-États-confédérés-d'Amérique

Carte de la Confédération au début de la guerre de Sécession.

En 1863, suite à une série de défaites militaires importantes, le chef de l'armée sudiste, Robert E. Lee, use de son prestige pour pousser le gouvernement confédéré à chercher l'assistance d'une puissance étrangère. En effet, la Confédération ne peut vaincre l'industrielle Union sans le support du Vieux Continent. Suite au refus poli du gouvernement britannique, le choix se porte sur l'Empire Français de Napoléon III. Au départ réticent à fournir un soutien militaire, le souverain se rend compte que cette opération permettra de maintenir l'influence de la France en Amérique du Nord et de protéger la culture du coton, vitale pour son économie.

Au début du mois de septembre 1863, 40 000 soldats français débarquent en Virginie pour prêter main-forte aux Sudistes. Leur participation à la bataille de Chickamauga reste légendaire : après à peine une journée de combat, les troupes de l'Union doivent battre en retraite face au feu nourri de la coalition franco-confédérée. Le président confédéré Jefferson Davis rédige un communiqué de remerciement à l'Empire pour l'occasion. Il est apparu, par des recherches récentes, que le gouvernement de l'Union avait souhaité recevoir le soutien militaire du Royaume-Uni. Cette alliance n'a pourtant jamais vu le jour puisque l'Angleterre considéra qu'une participation a cette guerre pouvait mener à une guerre totale sur le Vieux Continent, brisant ainsi sa politique d'équilibre européen. Cependant, le Royaume-Uni fournit un support important de ressources financières et autres aides indirectes à l'Union .

Au mois de février 1864, les armées franco-confédérées, dans le cadre d'une campagne sans précédent dans les annales de la guerre, prirent Washington D.C. Abraham Lincoln et le reste du gouvernement américain se réfugièrent à Philadelphie. Le 17 février, suite a des pressions populaires à travers les grandes villes, le président de l'Union signa un armistice face au général Lee aux portes de Philadelphie tandis que le drapeau de la Confédération flottait sur l'ancienne capitale fédérale.

Les accords de Point Lookout (1864)[]

En avril 1864, le gouvernement confédéré convoque une conférence à Point Lookout (Maryland) pour la reconnaissance de la Confédération comme une nation indépendante et pour délimiter les nouvelles frontières nationales. Le choix de Point Lookout comme lieu de réunion n'est pas laissé au hasard : cette localité avait abrité un camp d'internement de prisonniers sudistes pendant la guerre et avait marqué l'imaginaire collectif par les histoires d'horreurs commises par certains officiers de l'Union.

Les accords prévoient l’agrandissement notable des territoires de la Confédération. Ceux-ci demandent comme indemnité de guerre les états de Californie, du Missouri, du Maryland et du Delaware. De plus, les Sudistes exigent d'avoir le plein contrôle sur les territoires de l'Oregon, de l'Oklahoma, de l'Utah et du Nouveau Mexique. Les États de l'Union se voient ainsi privés de leurs possessions coloniales en Amérique. L'Union, sans ressources et vaincue, doit capituler et sacrifier son territoire.

Finalement, les accords prévoient l'établissement de Washington D.C. comme nouvelle capitale confédérée ; le gouvernement de l'Union est obligé de déménager à Philadelphie. Dans l'histoire américaine, il y a un "avant" et un "après" Point Lookout : l'acceptation de la défaite par l'Union est vécue par beaucoup d'Américains de l'Union comme un signe de soumission aux États du Sud.

La fin du mandat de Jefferson Davis ou les Années noires (1865-1867)[]

Élu en 1861 pour un mandat non renouvelable de 6 ans, Jefferson Davis est le premier président des États Confédérés d’Amérique. Il cause pourtant la surprise générale en annonçant au Congrès, en 1866, qu’il souhaite voir l'esclavage aboli avant la fin de son mandat. Malgré un tollé populaire, la mesure d'abolition est acceptée à 156 voix contre 144. En effet, le Sud tente lentement de s'industrialiser pour faire compétition à son voisin nordique et l'agriculture est lentement modernisée. De plus, l'esclavage est considéré comme une idée obsolète et gênante dans un monde où la plupart des nations modernes l’ont aboli. De plus, des lobbyistes industriels souhaitent avoir accès à cette main-d’œuvre que les propriétaires agricoles conservent jalousement. Cependant, nombreux sont les anciens esclaves qui continuent à travailler chez leurs anciens maîtres dans des conditions à peine meilleures que l’esclavage, si ce n'est l'existence d'un salaire. Ainsi, les esclaves de la Confédération sont rendus sans préparation à la vie civile. Soulagés, les anciens esclaves sont, dans un premier temps, désorientés.

Cependant, une majorité de la population est tout à fait hostile à cette mesure : les affranchis sont accusés notamment de mener le pays à sa chute en ruinant l'économie et d'autres crimes. De plus, une certaine rancœur de la part des vétérans de la Confédération accentue le clivage raciale dans la société : pour eux, la libération des Noirs se fonde sur le vain sacrifice de toute une génération. Armés, violents et ivres de violence, ceux-ci forment des groupes paramilitaires dont la seule mission était selon eux : ‘’venger le sacrifice de leurs frères d’armes‘’. Sous le nom de White Wolves ou bien encore de Swords of God, ces hommes commencent leur œuvre . On recense des centaines de cas de violence de la part des vétérans a l'encontre des populations noires, allant de l'humiliation à la pendaison. Certains historiens affirment que plus de 110 000 Noirs périrent dans les 2 années qui suivirent l’abolition de l’esclavage durant cette flambée de violence. Malgré de nombreuses plaintes, les autorités officielles ne semblent pas intervenir pour combattre les groupes paramilitaires qui sèment la terreur dans les campagnes et les villages.

Face a cette violence contre laquelle l’État ne sévit pas, une majeure partie des anciens esclaves migre vers les États-Unis, espérant trouver une vie meilleure et surtout une véritable liberté. Les affranchis s'installent alors massivement à New York et à Chicago, engendrant par la même occasion de nombreux problèmes sociaux liés à un exode trop rapide et à la pauvreté. Une autre partie des Afro-confédérés décide de faire le chemin inverse pour retourner en Afrique : la majeure partie de ceux-ci va s'installer dans ce qui deviendra l'Afrique Occidentale Française et au Libéria et y fonde des villes anglophones (telles que Blackton ou Little Kinzee). Une minorité des affranchis resta dans la Confédération, restant soumise financièrement à leurs anciens maîtres, mais s'adaptant peu à peu à leur liberté nouvelle.

Jefferson Davis promeut aussi la création de l'État de l'Oklahoma : cet État a la particularité d'être donné aux Amérindiens locaux, en remerciement pour leur soutien pendant la Guerre de Sécession. Aujourd'hui encore, il est peuplé à 92% de natifs amérindiens. Le mandat de Jefferson Davis prend fin en 1867 et celui-ci, désapprouvé par une majeure partie de la population, se retire en France pour tenter d’oublier ce désastreux mandat .

Brigham Young et la Conquête de l'Ouest (1867-1873)[]

Brigham-Young

Brigham Young

Ce fut finalement Brigham Young qui fut choisi pour succéder au Président Davis: Brigham Young avait été député de l'Utah et gouverneur de l'Utah.De plus, il était Président de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, communément appelée "Église Mormone".

Étant originaire d'un état de l'Ouest Américain, Young connaissait les difficultés rencontrées par les colons de l'ouest du pays:il adopta plusieurs résolution pour faciliter la vie de ces populations. Ainsi,il instaura la première compagnie nationale de distribution d'eau potable dans l'Utah et le Nouveau Mexique.

Young fut le premier à encourager l'immigration Européenne dans l'Ouest Américain pour peupler ces terres sauvages. A partir de 1870, un afflux de population (notamment Française) à destination de la Californie fut enregistré. Cette époque fut également celle du déni des origines Espagnoles de la Californie: ainsi, la ville de San Francisco fut renommée "Saint Francis".

Brigham Young connut son premier scandale politique notable en 1868: cette année là, Young fut accusé de pratiquer la polygamie de manière ouverte dans son entourage. Il reçut à cette occasion le soutien de plusieurs communes de l'Utah. Ce débat déclencha une polémique autour des droits de la polygamie dans le cadre religieux: a cette époque, l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours pratiquait encore la polygamie. Ce point faisait partie intégrante de la doctrine mormone. Cette période de troubles s'acheva sur un point juridique important: les mariages du Président Young n'ayant pas été célébrés en territoire Confédéré mais dans le territoire de l'Utah, la loi nationale ne pouvait dominer la loi locale.

Par la suite, Brigham Young dut faire face à un scandale de politique extérieure: en 1870, l'Empire Allemand déclara la guerre à l'Empire Français. L’Empereur Napoléon III fut destitué. On accusa le Président Young de n'avoir rien fait pour tenter de sauver le régime qui avait permis à la Confédération de devenir indépendante. Plusieurs membres du Congrès, tels que le Docteur Ghillingham, s'en prirent violemment au Président, allant jusqu'à l'accuser d'irrespect vis à vis des "cousins" Européens.

Brigham Young termina son mandat dans une impopularité importante dans les états de l'est. A l'inverse,il était très admiré dans l'Ouest.

Robert Edward Lee (1873)[]

Ancien héros de la guerre de Sécession, Robert Edward Lee fut élu président de la Confédération lors des élections présidentielles du 5 novembre 1873. Cependant, il mourut 9 jours après ces élections d'une crise de cœur. Certains auteurs ont tenté, par le passé, de faire passer sa mort soudaine pour un assassinat. Cette thèse est notamment aujourd'hui défendue par l'historien Ben Wright.

Hubert Johnston( 1873-1879)[]

Cet ancien chef d'entreprise devint président de la Confédération en 1873 suite au décès de Robert Edward Lee. Il se lança dans une politique de modernisation du pays: il fut le premier à défiscaliser les entreprises étrangères s'installant dans les villes confédérées. Ainsi, il fit de la petite ville de Bulltown, en Alabama, un centre sidérurgique et commercial parmi les plus importants du monde occidental.

Johnston militait en faveur d'une plus grande liberté des entreprises: il se vantait d'être l'homme qui fit passer la Confédération à "l'économie de marché". Cependant, ses déconvenues furent peu appréciées: l'agriculture étant devenue moins rentable, il était devenu impopulaire auprès des agriculteurs. Sa politique de concurrence contre le Nord ne fit qu'affaiblir les anciens ennemis: en effet, à partir de la fin des années 1870, l'Union se rapprocha de plus en plus du Canada, devenant de plus en plus dépendant économiquement de l'économie Britannique.


Kirk Strickland (1880-1887)[]

Ancien shérif du comté de La Praire, en Californie, le président Kirk Strickland était un homme dégouté par le désordre juridique total qui régnait dans l'Ouest .Son programme de campagne était basé sur la sûreté des routes marchandes et la continuité des idéaux commerciaux de Johnston. Une fois élu, il fut le premier président à investir dans un réseau de routes organisées vers l'Ouest. Ces routes étaient surveillées par des gardes routes permanents, rassurant les voyageurs et les colons.

Le président Strickland fut le premier à se soucier réellement du statut administratif de l'Ouest: ainsi, il accorda le statut d'État au Nouveau-Mexique et à l'Utah,rebaptisé pour l'occasion "Deseret" (en fait,c'était le nom que portait l'état avant d'être assimilé à l'Union). L'Oregon fut aussi intégré comme État de la Confédération, sous le nom de Cascadia. Proche des gens et populaire, il fut le premier à proposer au Congrès la possibilité que le mandat présidentiel soit renouvelable. Cette solution ne fut pas acceptée par la majorité des Congressistes.

Enfin, il fut l'un des rares présidents à admettre que l'abolition de l'esclavage avait été un balle dans le pied pour l'économie du pays. Cependant, il se gardait bien de regretter l'esclavage ou ses dérivés. C'est pour ce la que Strickland envisagea la possibilité de faire appel à une main-d’œuvre étrangère pour compenser le manque à gagner de l'esclavage et de la fuite des populations Afro-américaines: Ainsi, il fit voter de nombreuses lois favorisant l'immigration et l'implantation de ceux-ci dans l'économie confédérés. C'est à partir de 1887, à la fin de son mandat, que des immigrants, essentiellement Italiens et Chinois, arrivèrent massivement dans la Confédération.


Chester Ohnney et la tentation coloniale[]

Fondateur du Parti Populaire Confédéré (PCP), il fut élu Président en 1894. Animé par une ferveur progressiste étonnante pour un Confédéré, réputés conservateurs, il proposa un rapprochement avec l'ancien Nord, qualifiant la bouderie Nord-Sud "d'un autre âge". Pourtant les Historiens s'accordent à dire que sa tentative de rapprochement s'est révélée vaine: lorsqu'il tentait une réconciliation, l'Union avait déjà formé une coalition informelle avec le Canada (Connue sous le nom de "Canada et Nouvelle Angleterre").

En 1898, suite à une guerre coloniale de moindre ampleur avec l'Espagne, la Confédération hérita de territoires outre-mer: l'île de Cuba devint alors une possession Confédérée,de même que l'île Espagnole de Porto Rico. Dotée d'un maigre Empire colonial, le gouvernement décida de ne pas chasser les populations locales. Pourtant, l'Anglais devint langue officielle sur ces territoires. Progressivement,l'Anglais domina chaque aspect de la vie quotidienne, l'Espagnol étant de moins en moins enseigné.

Peu populaire et manquant de soutien parmi son gouvernement, Chester Ohnney fut assassiné en 1899 par un extrémiste conservateur.


Maréchal Howard Sim[]

Il cumula les fonctions de Maréchal d'armée et de Président. En 1902,suite aux évènements désastreux survenus à la frontière entre le Texas et le Mexique, où des soldats Mexicains avaient tiré sur des civils Confédérés, le Président Sim déclara la guerre au Mexique.

Sanglante et meurtrière, ce conflit prit fin en 1905, s'achevant par l'annexion de la province mexicaine de Basse-Californie.

Il proposa au Congrès la possibilité pour le Président d'effectuer un second mandat: cette mesure prévoyait également de raccourcir le mandat Présidentiel à cinq ans. Cette motion fut adoptée; le Maréchal Sim engagea alors un second mandat de 5 ans, lequel s'acheva en 1911.

On l'accusa d'être responsable de la perte de nombreux jeunes Confédérés pendant la guerre au Mexique et d'avoir été trop dépensier.


Louis Horloger[]

Originaire de la Nouvelle Orléans, il fut le premier président d'origine française ainsi que, dans une moindre mesure, le premier président créole (son arrière-grand-mère était en effet une esclave affranchie).

Conservateur, il demanda une meilleure surveillance des minorités chinoises et italiennes de la côte ouest, accusées de véhiculer le crime organisé. 

Il procéda à l'achat de l'Alaska qui était jusqu'alors un territoire Canadien.

Willbur Willson[]

Le Président Willson décida de l'intervention des troupes Confédérées en Europe au cours de la Première Guerre Mondiale, en 1917. Il est notable que le rôle de la Confédération dans le conflit aie été mineur : une fois sur le terrain, les Empires Centraux avaient presque été défaits.

Il décida notamment de la création d'un fond pour la reconstruction de l'Europe après la guerre. Cependant, ce fond ne fut pas attribué aux anciennes puissances Impériales (Allemagne, Autriche-Hongrie, Turquie).

Dans le cadre alors bien improbable d'une autre guerre mondiale, il proposa au Canada de fonder une union avec la Confédération : les États-Unis d'Amérique du Nord. L'idée ne fut pas relayée, les représentants de Nouvelle-Angleterre s'y opposant fermement.

Il fut réélu au poste de Président en 1921.

George Wuh[]

Élu en 1926, il fut le premier Président d'origine asiatique. Son mandat fut marqué par la grande crise boursière qui à partir de 1929 fit s’écroulé l'économie mondiale. Devant ce désastre, totalement désorienté, il dut démissionné.

Une période de chaos : 1930-1932[]

Une fois que le Président Wuh eut démissionné, une période d’instabilité ministérielle s'installa : tour à tour, le pays fut dirigé par des coalitions démocrates, Whig, conservatrices et même socialistes. La Confédération n'avait plus de Président. Officiellement, c'était le Congrès qui était chargé des décisions importantes. Pourtant, le pays était dans une sorte de mutisme inquiétant, refusant d'entretenir des relations extérieures. A mesure que les gouvernements défilaient, la crise s'aggravait un peu plus.

Le Grand Tournant : Markus Monroe[]

Les élections législatives de 1932 virent apparaître la dominance d'une tendance politique tout aussi particulière que dangereuse : 42% des sièges du Congrès étaient occupés par des membres du Nordic Rebel Party. Ce parti, fondé en 1916 à la Havane par Markus Monroe, un agitateur d'extrême-droite, prit soudainement plus d'importance avec les désordres politiques et l'instabilité économique. Au vu des résultats de son parti, Markus Monroe fut autorisé à siéger au Congrès en tant que Président de l'assemblée.

Rapidement,il imposa sa marque : nationalisation des entreprises, fin du commerce extérieur non-surveillé, répression féroce des organisations criminelles étrangères. L'arrivée au pouvoir de ce parti d'inspiration fasciste était connue sous le nom de "Grand Tournant".

A partir de 1934, la Confédération se rapproche de l'Allemagne hitlérienne et de l'Italie fasciste. Peu intervenante en matière extérieure, elle décide de ne pas mobiliser ses troupes en Europe au début de la Seconde Guerre Mondiale en 1939.

Mais en 1941, profitant de l'affaiblissement de l'Empire Britannique alors seul continuant à se battre à l'Ouest; la Confédération entre en guerre aux côté des forces de l'Axe : les troupes Confédérées attaquent le Canada Britannique la même année. La Nouvelle Angleterre est purement reannexée aux États Confédérés, alors que le Canada reste une zone occupée d'exception.

A partir de 1943, pour lutter contre l'avancée soviétique, la Confédération fournit à l'Allemagne les plans d'une bombe A destinée à être lâchée sur Moscou. Finalement, il aura suffi de l'avancée conjointe des Japonais et des Allemands sur le territoire russe pour que l'URSS déclare forfait.

L'après-guerre

Markus Monroe décède en 1946, probablement empoisonné. Un régime de type parlementaire lui succède. Conservant les conquêtes canadiennes, le pays s'ouvre alors à plus de démocratie, retrouvant le statut qu'elle avait avant la Crise. Cependant, le pays entre en guerre froide contre l'Union Européenne sous domination allemande: il n'y a pas de conflit entre les deux puissances mais la confrontation est bien réelle. En témoigne, dans les années 1950, la "course vers les étoiles" remportée par l'Europe qui réussit à envoyer un homme sur la Lune en 1957.

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